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Prof. Dr. Werner Gitt

Quel rapport existe-t-il entre la pandémie de la COVID et Dieu?

Nie zuvor hat eine Krankheit die ganze Welt in die Knie gezwungen wie im Frühjahr 2020, in dem das Corona-Virus das öffentliche Leben zum Stillstand brachte. Der Shutdown wurde verordnet, Veranstaltungen wurden abgesagt, Uni­ver­sitäten, Schulen und Kitas geschlossen. Fußballspiele fanden vor leeren Rängen statt. Gottesdienste waren verboten – das gab es noch nicht einmal in Kriegszeiten.

Wir suchen nach einer Erklärung für diese Pandemie. Wer gibt sie uns?

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Quel rapport existe-t-il entre
la pandémie de la COVID et Dieu ?

Jamais encore une épidémie n’avait fait plier le monde entier comme cela est arrivé au printemps 2020, lorsque le Coronavirus a paralysé la vie publique tout entière. On a instauré le confinement, des manifestations ont été annulées, les universités, écoles et garderies ont été fermées, les matchs ont eu lieu devant des tribunes vides, les messes et les cultes ont été interdits – un état de choses qu’on n’avait jamais vécu même en temps de guerre.

Et voilà qu’une société éprise de mobilité, qui voit chaque jour 130 000 avions transportant 12 millions de passagers relier les différents continents, s’est retrouvée tout à coup en mode pause. Le coup porté a été si rude que chacun s’est trouvé pris dans la tourmente. La soudaineté brutale avec laquelle l’humanité a été confrontée à tous ces événements a même fait passer le débat sur le réchauffement climatique au second plan.

Lothar H. Wieler, microbiologiste et président de l’Institut Robert-Koch à Berlin – l’équivalent de l’ARS -, s’est exprimé en ces termes le 14 avril 2020 sur la crise du Coronavirus : « Cette pandémie nous était jusqu’à aujourd’hui inconnue. Nous ne disposons donc d’aucun modèle de crise. C’est une maladie entièrement nouvelle. »
Ces paroles reflètent son complet désarroi.

La crise de la Covid 19 a provoqué dans tous les pays une crise financière et économique inédite, dont l’étendue, pour l’instant, ne peut pas être mesurée. Le plan d’urgence économique le plus considérable jamais décidé par la France va affecter les comptes publics à hauteur de 110 milliards (état au 15 avril 2020). À cela s’ajoute une ligne de crédit de 300 milliards pour garantir les nouveaux crédits souscrits par les entreprises. Cela fait en tout 410 milliards, à savoir, une fois et demie ce que l’état dépense en un an (326 milliards). Combien de temps faudra-t-il pour résorber ces dépenses ?

Alors que nous cherchons des explications à cette pandémie, vers qui nous tourner ?

Dans notre quête de réponses,
l’Église nous laisse sur notre faim

Le professeur Michael Wolffsohn, historien, déplorait dans la Frankfurter Allgemeine Zeitung du 20 avril 2020 le silence de l’église officielle : « Pour ce qui me concerne en tout cas, je n’ai entendu du côté des ecclésiastiques aucune interprétation un tant soit peu approfondie de cette pandémie. »

La Welt am Sonntag a titré pour sa part : « La crise du Coronavirus va-t-elle forcer l’Église à un aveu d’échec ? ». On lit plus loin dans l’article que « La censure que s’impose l’Église suscite l’incompréhension, en un temps qui réclame plus que jamais qu’on lui indique une direction. Tant qu’il s’est agi de pacifisme, de désarmement, de lutte contre le nucléaire, de solidarité avec les migrants et de la défense des démunis, les églises chrétiennes ont toujours été à la pointe du combat. Mais là, elles expriment juste de l’incompréhension, à l’instar de la plupart des commentaires : « Dieu n’envoie pas le malheur, mais la question se pose : « Pourquoi ne fait-Il rien ou ne l’empêche-t-Il pas ? » (source : Mgr Philippe Marsset, dans : l’église catholique à Paris, 26 mars 2020).

Tournons-nous alors vers la Bible : Que nous dit Dieu à ce sujet dans sa Parole ?

1. Nous vivons dans un monde déchu

Nous vivons dans un monde dans lequel le taux de mortalité atteint les 100 % et où tout a un caractère éphémère. Dans cette création, on compte par ex. plus de 20 millions de poisons variés. Les venins de serpent ont une structure chimique si complexe que même les meilleurs chimistes ne sont pas en mesure de synthétiser leurs combinaisons. Quand on veut interpréter tous les drames qui se passent dans le monde en ignorant volontairement la Chute qui a eu lieu à l‘aube de l’histoire de l’humanité, on en arrive immanquablement à échafauder dans tous les cas de fausses interprétations. Toutes les tentatives humaines d’établir un paradis terrestre se sont soldées par un échec. La raison en est le péché qui répond à cette loi : « Le salaire du péché, c’est la mort. » (Romains 6, 23). C’est pour cette raison que prolifèrent dans ce monde les guerres, la haine, les maladies et la mort. Dans ces temps de Covid, nous en prenons conscience avec une acuité toute nouvelle.

2. Selon l’avis du plus grand nombre,
Dieu n’aurait rien à voir avec le Coronavirus

À notre époque, il y a un parti pris très courant de prêcher uniquement l’amour de Dieu en passant sous silence les jugements de Dieu. A contrario nous montre que le déluge, par exemple, qui a entraîné la mort de millions de personnes, a bien été causé par Dieu, de même que la ruine de Sodome et Gomorrhe ou la dispersion (diaspora) du peuple d’Israël dans le monde entier. Dans le Nouveau Testament, le livre de l’Apocalypse expose les jugements terribles des trompettes et des coupes (Apocalypse 8-11 ;16), tels que l’histoire humaine jusqu’à aujourd’hui n’en a jamais connu. Et l’auteur de ces jugements est clairement nommé (Apocalypse 8,1 ; 16,1) : c’est Dieu.

Peut-on se permettre de laisser Dieu en dehors de cette crise, comme les politiciens et les gens d’église le font à l’échelon national ? L’article de l’évêque Gerhard Feige dans : « Christ und Welt », N° 17 du 16 avril 2020, reflète parfaitement cette façon de penser. Il cite la résolution commune des églises protestantes, catholique et orthodoxe en Allemagne qui dit : « La maladie n’est pas un châtiment de Dieu, ni à l’échelon individuel, ni au niveau de la société dans son ensemble, ni des nations, ni des continents, ni même de l’humanité tout entière. Les maladies sont inhérentes à notre nature d’êtres vulnérables et fragiles. » 

Ainsi, ce Dieu qui compte même le nombre de cheveux sur notre tête (Matthieu 10,30) et qui appelle chacune des 1025 étoiles par son nom (Psaume 147,4), c’est Lui que nous voulons ignorer délibérément au milieu de cette terrible pandémie mondiale de la Covid ? Serions-nous présomptueux au point d’oser déclarer, comme Nietzsche, que « Dieu est mort » ?

Rien n’est plus urgent que de considérer les déclarations de la Bible, car c’est notre seule chance de pouvoir analyser correctement la situation.

Avons-nous déjà réfléchi, dans ce contexte de sécheresses et d’inondations, à ce que dit Job dans Job 12,15 ? : « Il retient les eaux et tout se dessèche ; Il les lâche, et la terre en est dévastée. »

3. Le Dieu qu’on a oublié

Considérons dans ce contexte la situation en France : on a procédé en France en 2019 - comme chaque année depuis 1976 - à environ 230 000 avortements, ce qui, selon la Bible, constitue un meurtre ! Pour ce qui est de la vérité biblique du récit de la Création, on l’a remplacée, en faisant systématiquement fi des autres avis, par la théorie de l’évolution, qui s’est révélée scientifiquement intenable. Avons-nous conscience de ce que nous avons fait ? En refusant sa parole – la Bible - ou en la jugeant nulle et non avenue, nous traitons Dieu de menteur. Le débat sur le réchauffement climatique prend des allures de nouvelle religion. En approuvant le « mariage pour tous », promulgué officiellement par l’état, nous avons foulé aux pieds le commandement de Dieu. La déclaration d’un homme politique français, il y a peu, affirmant que « l’Islam faisait partie de l’ADN de la France », n’est que l’une des déclarations, regrettables mais assumées, qui ouvrent grand la porte à l’Islam. Il suffit de voir comment cette religion rejette catégoriquement la croix pour réaliser combien elle est anti-chrétienne. Dans le Coran, les infidèles – sont visés ici, du point de vue musulman, tant les chrétiens que les Juifs et les athées - sont dépeints comme les créatures les plus méprisables, encore plus viles que le bétail (sourates 8.57 et 98.6).

Quand on fait en sorte que l’Islam fasse partie de la France, on doit s’attendre à ce que la France fasse un jour partie de l’Islam. Et on pourrait comme cela allonger la liste des funestes prises de position de notre société. Nous agissons de fait comme si Dieu n’existait pas. Se pourrait-il que nous nous soyons bricolé un brave Bon Dieu de livre d’images – à l’instar de celui de Jacques Prévert : « Notre Père qui êtes aux cieux, … restez-y ! » – qui n’a plus son mot à dire ? Nous sommes devenus un pays « impie », c’est-à-dire « sans Dieu », et si l’on faisait un sondage en ville, dans un endroit très fréquenté, et qu’on demande aux passants : « Croyez-vous en Jésus-Christ, le Crucifié et le Ressuscité, et vous êtes-vous engagé par une décision personnelle dans une relation avec Lui ? » … combien pourraient répondre par un « oui » sans équivoque ? Sûrement bien moins de cinq pour cent !!

Et Dieu se bornerait à garder le silence face à tout cela ? Il est dit en Galates 6,7 : « Ne vous y trompez pas : on ne se moque pas de Dieu. Ce qu’un homme aura semé, il le moissonnera aussi. »

4. Bien sûr que Dieu a quelque
chose à voir avec le Coronavirus !

En ayant à l’esprit le point 3, considérons ce que Dieu révéla au roi Salomon (2 Chroniques 7,13-14) : « Quand je fermerai le ciel et qu’il n’y aura point de pluie, quand j’ordonnerai aux sauterelles de consumer le pays, quand j’enverrai la peste parmi mon peuple; 14 si mon peuple sur qui est invoqué mon nom s’humilie, prie, et cherche ma face, et s’il se détourne de ses mauvaises voies,-je l’exaucerai des cieux, je lui pardonnerai son péché, et je guérirai son pays. »

Dans ce passage, Dieu nous révèle qu’Il est et qu’Il reste en toutes circonstances Celui qui est aux commandes. Il est Celui qui retient la pluie, qui amène une calamité, comme celle des sauterelles, sur le pays, qui permet des incendies gigantesques et des tsunamis ou qui envoie des épidémies comme la peste ou le Coronavirus. Le Coronavirus a donc bien tout à voir avec Dieu !!

Tous ces phénomènes, nous aimerions tant les expliquer scientifiquement, ou les attribuer à une défaillance humaine, ou encore au hasard. En faisant cela, nous faisons aussi fausse route que si nous tentions d‘expliquer la sécheresse de trois ans au temps d’Élie par la météo (Jacques 5,17-18).

Le prophète Amos (Amos 3,6) a des paroles sans équivoque : « Arrive-t-il un malheur dans une ville, sans que l’Éternel en soit l’auteur ? » De même, en Ésaïe 45,5a +7 : « Je suis l’Éternel, et il n’y en a point d’autre, Je forme la lumière, et je crée les ténèbres, Je donne la prospérité, et je crée l’adversité; Moi, l’Éternel, je fais toutes ces choses. »

Bien sûr, cela nous étonne beaucoup que Dieu se présente comme Celui qui déclenche les malheurs, les catastrophes, les épidémies et autres. Notre première réaction est, de prime abord, d’être épouvantés. Il n’en reste pas moins que les deux sont vrais : aussi bien le fait que Dieu soit à l’origine du malheur que celui qu’Il le permette (voir point 5) ; dans tous les cas, qu’Il en soit activement ou passivement l’auteur, Dieu est et reste souverain sur toutes choses.

5. Mais une autre puissance
est également à l‘œuvre dans ce monde

Depuis que le péché a fait son entrée dans le monde, le diable y a gagné une telle influence que Jésus-Christ l’appelle « le Prince de ce monde » (Jean 12,31 ; 14,30). Paul l’appelle même le « dieu de ce monde » (2 Corinthiens 4,4). Il est le « Malin » (Éphésiens 6,16), le « père du mensonge » (Jean 8,44). Il n’est cependant ni omniscient ni tout-puissant, mais dispose d’un certain pouvoir qui lui a été concédé et qu’il utilise afin de séduire les humains, de les détourner de la bonne voie, de semer la haine et l’hostilité ou même de fomenter des guerres.

Le livre de Job (1,12) nous apprend toutefois qu’il ne peut agir qu’à l’intérieur des limites que Dieu lui a fixées. Il a été vaincu par la mort de Jésus à la croix. Jésus a tout pouvoir sur lui et ses démons (Jean 14,30b; Luc 7,21). Qu’il est bon de savoir qu’aucune puissance ne peut nous séparer de Dieu, notre Seigneur, et que nous avons en Lui un sûr refuge ! : « Je dis à l’Eternel : Mon refuge et ma forteresse, Mon Dieu en qui je me confie ! » (Psaume 91,2).

6. L’homme, auteur de son propre malheur

Comme Dieu nous a dotés d’un libre-arbitre, nous sommes en mesure d’accomplir différentes actions qui peuvent être bonnes, mais parfois aussi, malheureusement, mauvaises. On a vu maint dictateur et maint roi plonger ce monde dans des souffrances indicibles par les guerres qu’ils avaient déclenchées volontairement.

7. Comment Dieu nous parle-t-il à l’heure actuelle ?

Dieu ne fait rien de façon arbitraire. Tout acte divin a sa justification, et souvent Il annonce ses jugements bien à l’avance, pour donner toute latitude aux humains de se repentir : « Car le Seigneur, l’Éternel, ne fait rien sans avoir révélé son secret à ses serviteurs les prophètes » (Amos 3,7). C’est ce que Dieu a fait par ex. avant le déluge (Genèse 6,7) : il a laissé 120 ans aux hommes pour faire pénitence, ou encore avant la ruine de Sodome et Gomorrhe (Genèse 18).

En Hébreux 1,1-2, il est dit : « Après avoir autrefois, à plusieurs reprises et de plusieurs manières, parlé à nos pères par les prophètes, Dieu, dans ces derniers temps, nous a parlé par le Fils (Jésus-Christ), qu’il a établi héritier de toutes choses, par lequel il a aussi créé le monde. » Aujourd’hui encore, Dieu nous parle personnellement à travers son Fils Jésus-Christ.

Si nous voulons comprendre la crise du Coronavirus, il nous faut nous tourner vers Jésus, car il est dit de Lui en Luc 24,45 : « Alors Il leur ouvrit l’esprit, afin qu’ils comprennent les Ecritures. ». Ainsi, nous voilà renvoyés à la Bible, qui nous révèle Jésus par l‘intermédiaire du Saint-Esprit. En nous alignant sur ce que dit la Bible, nous serons gardés d’être trompés par de nombreux faux prophètes auto-proclamés.

Ainsi, après toutes ces réflexions liminaires, nous pouvons à bon droit nous poser la question de savoir si cette pandémie du Coronavirus s’est abattue fortuitement sur ce monde ou si elle a été envoyée par Dieu. Écarter Dieu des données de l’équation serait se fourvoyer complètement. Nous nous trouvons, en ce cas précis, face à l’action de sa volonté, seulement, il nous est impossible d’en déchiffrer clairement le sens.

Cette pandémie me semble donner lieu, d’après les considérations ci-dessus, à 4 réponses :

  • Elle nous montre clairement le fait que la Création souffre et soupire et est appelée un jour à disparaître (Romains 8,21-22). Dieu veut également nous apprendre l’humilité (Michée 6,8).
  • C’est un jugement de Dieu sur ce monde devenu impie. Dieu veut nous appeler à la repentance (Apocalypse 3,19b).
  • C’est un appel de Dieu à se saisir du salut en Jésus pour ne pas subir le jugement éternel (Hébreux 9,27).
  • C’est un signe du retour imminent de Jésus. Il nous a prédit en effet que son retour serait précédé des « douleurs de l’enfantement » (Matthieu 24,8).

D’après ce que nous avons débattu, nous pouvons conclure que les 4 points ci-dessus sont partie prenante de l’explication de la pandémie.

8. Quel est le message que Dieu veut nous adresser ?

Quelles leçons à tirer de cette crise ? Tout d’abord, l’aveu de notre impuissance. Il nous faut reconnaître nos limites, en dépit de toutes les ressources techniques qui ont été déployées. Ensuite, nous observons que ce fléau touche le monde entier. Pas un groupe, pas un pays qui soit épargné, il atteint chrétiens et athées, musulmans et hindous, jeunes et vieux, pauvres et riches, malades comme bien-portants, en un mot : tout le monde !

Si Dieu parle à chacun d’entre nous de façon si universelle, se pose alors la question : Y a-t-il un message qui soit de même valable pour chaque citoyen du monde ? La réponse de la Bible à cette question est on ne peut plus claire et ne prête à aucune confusion, comme par exemple dans les versets ci-dessous :

  • « Ce que je désire, est-ce que le méchant meure ? dit le Seigneur, l’Éternel. N’est-ce pas qu’il change de conduite et qu’il vive ? » (Ézéchiel 18,23).
  • « Dieu veut que tous les hommes soient sauvés et parviennent à la connaissance de la vérité. » (1Timothée 2,4).
  • « Repentez-vous donc et convertissez-vous, pour que vos péchés soient effacés. » (Actes 3,19).

Dans son ouvrage « Peur du virus ? », Manfred Röseler compare le Coronavirus à un virus bien plus perfide : le péché, car celui-ci ne nous condamne pas seulement à la mort physique, mais à la mort éternelle, qui est l’enfer. La Bible nous a aussi mis en garde à l’avance contre cette catastrophe, de sorte que nul ne sera pris en traître (Apocalypse 21,8).

Mais du fait que Dieu est l‘amour en personne (1Jean 4,16), Il désire nous guérir – qui que nous soyons. Nous avons le remède contre le virus du péché : c’est à travers la mort et la résurrection de Jésus ! Et voici, en résumé, ce message salvateur : « Celui qui a le Fils a la vie ! » (Jean 3,36). Confessez au Fils de Dieu, Jésus, les manquements et les fautes de votre vie - en particulier le fait que vous ayez vécu sans Lui accorder de place - et demandez-Lui d’entrer dans votre cœur. C’est alors que vous serez guéris et aurez gagné le Ciel.

Si vous avez besoin d’aide pour accomplir cette démarche pratiquement, rendez-vous sur https://wernergitt.de/comment, où vous trouverez un guide d’accompagnement détaillé.

Werner Gitt

Docteur Ingénieur émérite en Sciences de l’information ; Ex-Directeur de l’Institut National de Physique de Brunswick