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Dr. Albrecht Kellner

Y a-t-il un vaccin contre la guerre ?

Seit Menschengedenken zettelt der Mensch Kriege an. Betrachten wir die Geschichte, kommen wir zu dem Schluss: Irgendetwas stimmt hier nicht! Vorgaben für unser Leben finden wir in den Religionen und Ideologien dieser Welt. Doch funktionieren sie? Wie können wir das Virus in uns besiegen? Erfahren Sie mehr darüber in dieser Schrift!

8 Seiten, Best.-Nr. 54-4, Kosten- und Verteilhinweise | Eindruck einer Kontaktadresse


Y a-t-il un vaccin
contre la guerre ?

Aussi loin que l’on remonte dans le temps, l’homme a fomenté les guerres les plus terribles. Au vu de l’histoire de l’humanité, nous ne pouvons qu’arriver à la conclusion : quelque chose ne va pas.

Ce qui est effrayant, c’est que nous n’en tirons aucune leçon ! La cruauté de la première guerre mondiale fut inégalée ; elle coûta la vie à environ 17 millions de personnes. De jeunes hommes, des pères de famille surgissaient des tranchées et empalaient d’autres jeunes hommes et pères de famille avec leurs baïonnettes, après avoir atteint la tranchée ennemie sous une pluie de balles.

À peine vingt et un ans plus tard, on récidivait. La seconde guerre mondiale se terminait par la mort d’environ 60 millions de personnes et une destruction sans précédent de villes entières. Maintenant le même spectacle inhumain se présente à nos yeux en Syrie et même en Europe. Comment cela est-il possible ?

Un virus mental

Les guerres débutent toujours dans la tête de quelques individus. Elles sont clairement d’origine mentale. S’agit-il d’une espèce de « virus mental » qui causerait constamment cette « maladie » dévastatrice qu’est la guerre ? Ce virus se trouve-t-il déjà en nous ? Beaucoup rentrent le soir, fatigués du travail, et regardent les informations. Et ensuite ? Peut-être un film policier ? Nos jeunes passent beaucoup de temps aux jeux d’ordinateur. Mais quels sont ces jeux ? Il s’agit la plupart du temps de tuer ! Que ce soient des jeux d’ordinateur ou des séries télévisées – il est question de meurtres et de crimes – et tout cela pour nous détendre, du moins c’est ce que nous prétendons.

La recherche du « vaccin »

Pour garder cette image : depuis que ce virus existe, l’homme tente de lui trouver un vaccin approprié. Celui-ci n’est manifestement pas un vaccin matériel. Il faut qu’il soit de la même nature que la maladie, c’est-à-dire, lui aussi mental. On le recherche habituellement dans deux catégories : les idéologies et les religions.

Les religions ont en général des caractéristiques très différentes les unes des autres. Elles ont cependant un aspect commun : elles donnent des directives au sujet du comportement humain. Ces directives comprennent souvent des prières, des instructions pour méditer ou jeûner, des liturgies, des pèlerinages et de nombreuses règles de conduite selon les religions correspondantes. Leur but est d’établir finalement la paix entre les hommes – sinon dans cette vie, du moins dans une vie à venir.

Il en va de même pour les idéologies, comme par exemple le conservatisme, le libéralisme ou le socialisme. Là aussi, il s’agit de directives concernant le comportement humain. Elles aussi ont pour but une coexistence pacifique.

Dans le conservatisme, on doit conserver des valeurs et des idées traditionnelles. Le scepticisme accompagne les idées nouvelles. Le conservatisme favorise un comportement déterminé par des traditions sociales, des convictions et l’importance de leaders.

Quant au libéralisme, il ambitionne la liberté économique, sociale et politique. Il est pour l’autodétermination, d’où se sont développés les concepts de la démocratie moderne, ainsi que le libre jeu de la concurrence.

Le socialisme s’en prend à l’inégalité sociale en prônant les principes de l’égalité, de la liberté et de la solidarité. Pour y parvenir, certaines règles de comportement sont à respecter – pouvant aller, sous des formes extrêmes, jusqu’à l’assimilation des classes.

Ce qui est inquiétant c’est que tous ces « vaccins » bien intentionnés n’ont toujours pas apporté l’immunité ! Les guerres continuent d’éclater en nombre et brutalité toujours croissants.

Il est important de constater que tous ces « vaccins » sont des vaccins « basés sur le comportement ». À partir d’une idée, d’une tradition ou d’une valeur, ils déterminent un certain cadre du comportement. Ces vaccins sont-ils effectifs ? Nous constatons qu’ils ont tous échoué.

Le vaccin ultime

Au vu de ces faits, la véritable question est de savoir si cette approche, basée sur le comportement, est fausse. Malgré toutes les règles de conduite possibles, il semble que la nature humaine l’emporte toujours. Malgré les idéaux humanistes, la corruption et l’exploitation se multiplient. Malgré l’éducation religieuse, la fraude et les abus abondent. Même en essayant d’abolir les abus sociaux et de niveler les différences de classes, on est témoin de terribles violations de nations entières. La « vaccination » marxiste-léniniste a coûté la vie à des millions de personnes.

Le « virus mental » fait-il peut-être partie intègre de l’être humain lui-même ? De toute évidence, quand l’avantage supposé et espéré est assez grand, s’ensuivent mensonge, corruption, exploitation, tyrannie et guerre, et cela à l’encontre de toute vaccination. Le virus est le moi.

Cela explique pourquoi tous les vaccins basés sur le comportement n’ont aucun effet : ils ne combattent absolument pas le virus ! Ils laissent la nature de l’homme inchangée. Ne devrions-nous pas plutôt chercher un vaccin focalisé sur la nature ? N’avons-nous pas besoin d’un vaccin qui change la nature de l’homme – l’essence de l’homme ? Il est étonnant de voir que, jusqu’à présent, aucune philosophie, idéologie ou religion n’ait eu cette idée.

Et pourtant, il existe une source d’information unique sur cette planète qui dit exactement cela. Elle nous enseigne que nous avons besoin d’une nouvelle nature, non d’un comportement religieux, mais d’un changement de l’intérieur. C’est la Bible. Dans un passage de ce livre, Dieu dit qu’Il veut ôter notre nature de pierre et la remplacer par une nature en chair. Il veut nous faire don de sa propre nature de sorte que nous soyons capables de garder ses commandements : l’amour, la justice et la vérité. Voilà ce que serait une vaccination appliquée à la nature !

Mais comment savoir si la source de cette information est sûre ? La réponse est facile, même si pour l’un ou l’autre elle n’est pas familière. Seul Celui qui a conçu l’être humain est à même de changer sa nature. C’est l’information que nous donne Celui qui est à l’origine de l’homme, le Créateur de l’univers, Dieu.

La vaccination ultime

Une telle vaccination, qui produirait une transformation de notre nature humaine, est-elle vraiment possible ? La Bible l’affirme. L’être humain centré sur lui-même viole constamment les caractéristiques de cette nouvelle nature nommées plus haut : l’amour, la justice, la vérité.

Dans la grande mémoire de données de chaque être humain, ces violations sont enregistrées sous le terme de « péché ». Ce péché doit tout d’abord être entièrement effacé. Mais notre source d’information prétend catégoriquement qu’aucun être humain ne peut réaliser l’élimination de son péché – par exemple en respectant certaines règles de conduite ou par l’appartenance à une institution.

La raison en est la suivante : le standard de l’auteur de l’univers est à la hauteur de sa puissance créatrice. Aucun de nous ne peut l’atteindre par quelque effort que ce soit.

Comment l’élimination du péché peut-elle être donc obtenue ? En principe, un seul être peut le réaliser : le Créateur lui-même. Et Il le fait ! C’est exactement le message central de cette source d’information qu’est la Bible. La manière dont Il le fait est facile à comprendre : le Créateur devait le faire là où le péché s’était produit : non au niveau d’anges ou d’animaux, mais au niveau de l’être humain. Il fallait qu’un être humain paie la dette des hommes à leur place. Nous le savons : cela a eu lieu il y a 2000 ans – en Jésus Christ à la croix.

Comment agit cette vaccination ?

Comment peut-on s’approprier personnellement le pardon du péché ? C’est facile : par un simple acte de foi. Cela peut se faire au moyen d’une prière telle que : « Seigneur Jésus Christ, je viens à toi. Je te confesse que j’ai péché. Je te prie de me pardonner mes fautes. Je te remercie de ce que tu l’aies fait dès maintenant. Viens dans ma vie, je te la remets. Accorde-moi ta nouvelle nature ! »

Depuis 2000 ans, cette expérience a été faite par des millions de personnes. Après cette prière, une nouvelle expérience commence, inconnue jusqu’à présent. On acquiert une certitude qui se renforce toujours plus : j’ai le pardon de mon péché. Ma nature est maintenant celle qu’elle devait être. Je suis arrivé à la maison. J’ai trouvé le sens de la vie. C’est l’expérience concrète de l’amour de Dieu. Et peu à peu – cela va croissant – le comportement aussi se transforme vers le dépassement du moi. Le virus meurt.

Nous avons vu que des règles de conduite ne suffisent pas pour empêcher les hommes de se nuire l’un à l’autre. Un changement de la nature humaine est nécessaire. Le fait que ce changement est possible, et qu’il peut être vécu concrètement, est le vrai sens du christianisme. Ce n’est pas une religion qui exigerait des modèles de conduite d’une vieille nature égoïste, incapable de les réaliser. C’est l’expérience d’une nouvelle nature. C’est cela l’effet du « vaccin contre la guerre ».

Celui qui possède cette nouvelle nature influence de plus en plus son environnement avec les qualités de cette nouvelle nature : l’amour, la justice et la vérité. Jésus enseigne que c’est ainsi que nous devenons la lumière du monde. Ce monde meurtri a besoin de cette lumière ! Venez ! C’est un pas facile à franchir : acceptez Jésus dans votre vie au moyen d’une prière comme dans l’exemple plus haut.

L’auteur

Né en Namibie, j’ai fait des études de Physique à Gottingue/Allemagne et San Diego/USA. Après avoir travaillé dans l’analyse de la sûreté de réacteurs atomiques, j’ai été employé pendant plus de 20 ans dans une entreprise aérospatiale (Airbus Defense and Space) pour y finir en tant que directeur technique adjoint. Je suis marié et père de deux fils. Après avoir longtemps cherché le sens de la vie, je l’ai trouvé – à ma grande surprise - dans le véritable sens du christianisme. Mon grand désir est de transmettre cette information à tous ceux qui sont aussi à la recherche du sens de la vie.